dimanche 15 novembre 2015

TRES PERSO..........



CECI N ENGAGE QUE MOI....

JE VAIS ESSAYER D EXPLIQUER MA VISION DES CAUSES ET CONSÉQUENCES DE CE DRAME QUI NOUS A FRAPPE .
LA RÉACTION PRIMAIRE SERAIT.... LA VENGEANCE ET L EXTERMINATION DE TOUS LES RADICAUX MUSULMANS....NORMAL....MAIS LA QUESTION EST POURQUOI CES GENS LA SONT PRÊTS A MOURIR ET SE SACRIFIER.

LA RELIGION ME DIREZ VOUS....PAS SUR...

IMAGINEZ QUE L ON VIENNE ENVAHIR VOTRE PAYS EN TOUTE IMPUNITÉ AVEC DE SUPER ARMES ET UNE TECHNOLOGIE,

QUE TOUS LES JOURS VOS AMIS ,VOTRE FAMILLE , SOIENT TUES,QUE VOS BIENS SOIENT DÉTRUITS ,PAR CET ENVAHISSEUR AU NOM D UNE SOIT DISANT DÉMOCRATIE,QUI EN VÉRITÉ N EST QUE L ACQUISITION PAR LA FORCE DES RESSOURCES QUE VOUS POSSÉDEZ.....CONVOITISE ET PROFITS.

CONSIDÉRANT QUE VOUS FAITES PARTI  CULTURELLEMENT D UN PEUPLE GUERRIER ET CONQUÉRANT,....QUE POUR VOUS COMBATTRE LES TRIBUS VOISINES OU D ETHNIES DIFFÉRENTES EST NORMAL ET CECI DEPUIS DES SIÈCLES.

CE NOUVEL ENVAHISSEUR N EST QU UN CONFLIT DE PLUS.
LE PROBLÈME EST QUE CET ENVAHISSEUR EST TRES PUISSANT ET DÉTERMINE.

VOUS RÉFLÉCHISSEZ ET VOUS VOUS SERVEZ DE LA RELIGION TRÈS PRÉSENTE DANS VOTRE CULTURE POUR UNIR LE PLUS DE COMBATTANTS POSSIBLES .

EXPLIQUANT A VOTRE PEUPLE BIEN SOUVENT DÉNUE D INSTRUCTION ET DE DISCERNEMENT ET QUE LE DIEU DE VOTRE RELIGION LEUR DEMANDE DE COMBATTRE  ET DE VOUS SACRIFIER....ENDOCTRINEMENT  ET FANATISATION.....

 QUE C EST LE DIABLE ...PAS FAUX SUR LE FOND.

VOUS VOYEZ VOS DIRIGEANTS CORROMPUS PAR CET ENVAHISSEUR....DONC PAS D AIDE A ATTENDRE DE CE COTE LA....ENCORE UN MOTIF DE PLUS POUR LUTTER.

EN TANT QU ETRE HUMAIN ,VOTRE RÉACTION LORSQUE VOUS PERDEZ TOUT CE QUI VOUS EST CHER EST DE PENSER........ QU ES CE QUE JE PEUX PERDRE DE PLUS A PART MA VIE ET SI CELA PEUT AIDER MES DESCENDANTS ......LE SACRIFICE DEVIENT ÉVIDENT.
LES DIRIGEANTS DES SUPERS PUISSANCES ET LES BANQUES SONT LES PRINCIPAUX ACTEURS DE CETTE SITUATION,MAIS EUX NE COMBATTENT PAS ,

ILS SPÉCULENT  ,ILS MANIPULENT ,ILS PARLENT AVEC COMPASSION DE TEL OU TELLE CATASTROPHE OU ATTENTAT......CE SONT LES VRAIS INSTIGATEURS BIEN PLANQUES ,BIEN AU CHAUD.........LAISSANT LES HOMMES S ENTRE TUER...FAISANT MONTER LA HAINE ,AVEC L AIDE SES MEDIAS POUR QUE CELA CONTINUE ET S AMPLIFIE...POUR ENCORE PLUS DE PROFITS.

JE NE CAUTIONNE PAS ,NI NE CHERCHE A EXCUSER  L HORREUR ET  LE  CARNAGE D INNOCENTS,JE SUIS SIMPLEMENT RÉVOLTÉ DE VOIR TOUT CES FAUX CULS DE DIRIGEANTS AUX INFOS PLEIN DE COMPASSION  ET DE CONDOLÉANCES,ALORS QU ILS SONT TOUS AUTANT COUPABLES.

,MAIS SI L ON DOIT HAIR ,PUNIR ,ET AGIR ,IL FAUT QUE TOUT LE MONDE PAYE JUSQU AU SOMMET DE LA PYRAMIDE,.....LES INSTIGATEURS.....SI VOUS VOYEZ CE QUE JE VEUX DIRE.






mardi 10 novembre 2015

C EST LE JOUR ET LA NUIT...............



Apres de nombreuses années derrière différents comptoirs une chose m a sautée aux yeux........

Pourquoi les clients de journée  sont ils si différents de ceux de la nuit....................

Même si l on parle d une même personne.  Ce client la va avoir une attitude ,voir même un look diffèrent la nuit et le jour.

Sorte de Docteur Jekills et Mister Hyde.

La clientèle de journée est normalement plus calme.
Ceux sont des gens qui viennent au bar pour faire une pause .
Même si ils consomment de l alcool c est en petite quantité,mais bien souvent cela se résume a des cafés.

Donc il semblerait logique que la métamorphose soit due a la consommation d alcool.

Je ne suis pas de cet avis.

Beaucoup de gens travaillent par obligation et font un métier qui  leur impose une tenue et une attitude correspondante.

Toute la journée ils étudient un personnage qui bien souvent est très loin de la réalité.

Sourires,politesse ,un bon parlé.. etc.... ils n ont pas le choix,c est le théâtre de la vie.

Combien de gens font un  effort vestimentaire seulement pour aller voir leur banquier.

Une exception et j en fait parti ,c est lorsque votre  apparence  vous colle a la peau .....la pas de triche.

C est marqué dessus comme le port salut....comme on dit.

Donc il est normal que tous ces gens lorsqu ils terminent leurs journée aient envie de redevenir eux même.

J ai eu le cas d un cadre Sup ,costume cravate tous les jours qui le soir venu se métamorphosait  en danseur disco sur des tubes des année 80.

Un avocat aussi ,très sérieux la journée et qui  se transformais en rocker trash metal.

Un employé de mairie de la voirie, sapé  le soir comme un milord.

Le DJ résident de mon bar a Toulouse,première partie de Bob Sinclar a ses débuts.........contrôleur a la SNCF.

De surprises en surprises.

Une manière sans doute d évacuer le stress et de reprendre le contrôle.

Peut être  après cette chronique ,vous verrez vos collègues ,voir même votre patron,d un autre œil et pourrez vous imaginer plein de choses délirantes.

Cela pourra vous aider a mieux supporter le moule dans lequel on veut vous faire rentrer quotidiennement et vous y sentir moins a l étroit.

Mais dites vous que vous n êtes pas les seuls...........paroles de barman.







jeudi 1 octobre 2015

MATIN.....CALINS






Elle apparue dans la pièce seulement vêtue de ma chemise boutonnée négligemment, laissant apparaître en transparence ses formes délicates  dans les rayons d une lumière matinale que laissaient passer les persiennes croisées.

Sur la pointe des pieds, elle s’approcha de la table, ou l’attendais une cafetière brûlante, ainsi que de délicieux croissants achetés par mes soins à la boulangerie du coin. 

Elle se pencha et m embrassa, pris place sur mes genoux. L’odeur  exquise de son corps se mêlait à celle du café chaud.

Je pris un croissant et en déchirais la moitie avec ma bouche, lui tendant délicatement l’autre partie qu’elle engloutie en me fixant avec des yeux rieurs.

Quelques miettes restaient collées a la commissure de ses lèvres d’un rose parfait, délicatement j entrepris de les essuyer avec mon index.

 Elle entrouvrit  sa bouche laissant entrevoir l’émail nacre de ses dents et me mordit, tout en resserrant ses  lèvres autour de mon doigt  avec une légère succion.

Cette sensation attisa mes sens.

Elle saisit ma tasse et bu quelques gorgées en prenant un air innocent.

Ma main caressait son ventre, jouait avec l’orifice de son nombril, provoquant chez elle de petits soubresauts .Elle se cambra laissant apparaître le dessin de sa poitrine, tout en trépignant sur place.

Elle reposa la tasse sur le bord de la table, pencha sa tête en arrière sur mon épaule, pris ma main et  d’un geste lent la fit descendre entre ses cuisses en la maintenant plaquée sur son sexe légèrement humide.

Je profitais de cet instant,  de cette communion, de ce désir mêlé d’excitation, ne voulant surtout pas griller les étapes pour le rendre infini.


Aujourd’hui …………..je  n irais pas travailler.....

mercredi 12 août 2015

POUR LES CONNAISSEURS..........





Le soleil illuminait déjà  de ses rayons la belle plage du PRADON.

Cette année le mois de juillet s’annonçait spécialement  chaud, avec un peu de mistral.

Mon vieux.....Paul pour les habitues, s’affairait à arroser la terrasse de sa paillote  afin de donner un peu de fraîcheur, tandis que dans la cuisine ma mère...Françoise s’activait pour se mettre en place pour le service de midi.

Pour moi corvée de moules, nettoyage et ébarbage en prévision des commandes pour la soirée, car la spécialité de l’endroit  ,à part la bouillabaisse, la paella, les pâtes aux fruits de mer. Etait un plat bien de chez nous......les moules farcies à la provençale.

Attention pas de confusion avec les moules gratinées du sud-ouest.....là un boulot de titan pour quelques minutes de bonheur.
Je m’explique…….hors mis les nettoyer et les ouvrir, il faut ensuite les remplir d’une farce dont le secret reste familial, et ensuite les attacher une à une avec un petit bout de ficelle de coton pour ne pas que la farce s’échappe durant a cuisson et reste en contact avec la moule.
Ensuite vient la préparation de la sauce à base de tomates et d’épices.

Ce plat a de nos jours pratiquement disparu, à part peut-être quelques courageux qui le préparent chez eux pour des amis ou la famille, mais vous ne le  trouverez pas à la carte d’un resto.

Je pense que tous ceux qui ont eu le privilège de les manger à la paillote de mes vieux en gardent encore un souvenir impérissable.

En hommage  à Françoise et Paul qui ont su pendant 15 ans faire partager la Provence à travers leurs gouailleries  et leur cuisine sur cette petite plage du sud de la France.

GE












mercredi 22 juillet 2015

L’ ART ET LA MANIÈRE.........





L’annonce du serveur  raisonna dans sa tête. 

Machinalement il saisit le shaker de métal argente, compagnon de travail depuis de nombreuses années…. l’ouvrit, jeta à l’intérieur une poignée de glaçons.

Comme un ordinateur il analysa les ingrédients  nécessaires à la composition du fameux breuvage..

Il attrapa sur l’étagère un verre à pied, haut, et légèrement  bleuté, passa sur le bord la pulpe d’un quart de citron et le plongea dans une coupelle remplie de sucre en poudre d’un mouvement sur et circulaire.
Il le secoua et le posa devant lui admirant le contour parfait ,blanc et granuleux.

Les filets de liquides s’échappant de différentes bouteilles s’accumulaient dans le shaker.

 Le geste est sûr, les doses exactes.....

Une sorte de chorégraphie offerte aux clients les plus proches. Un mouvement de haut en bas gracieux, qui se termine par un geste sec  et rotatif, un peu comme une virgule qui coupe radicalement la chute du liquide au niveau du bec verseur en inox.

Il assembla les trois parties de son accessoire, qui s’emboîtèrent parfaitement malgré les années d’utilisation. 
Il cala le tout entre ses deux mains positionnées à chaque extrémité et  commença un mouvement de va et vient avec ses bras ,légèrement arrondi par moments.

Le bruit des glaçons se fracassant à l’intérieur et se mélangeant aux liquides sembla accompagner en rythme la musique bossa nova  jouée par un pianiste sans âge, dissimulé dans un coin du bar.

Le métal, entre ses mains commença a s embuer de fraîcheur…..stop pensa-t-il.

Il ouvrit le capuchon et versa délicatement le breuvage dans le verre, gardant une infime partie qu’il versa dans un petit shot qu’  il porta a sa bouche et prit un air satisfait.

Tout un choix de fruits frais pré découpés s’offraient a lui pour terminer son œuvre. Il opta pour une belle fraise d’un rouge vif et une demi tranche d’orange préalablement zestée qu’ il positionna délicatement sur le bord du verre en faisant attention de ne pas détériorer la collerette blanche immaculée de sucre.

La touche finale un brin de menthe fraîche délicatement cale entre les deux fruits, un touilleur torsadé et design ainsi qu’une paille noire coudée.


Il poussa légèrement le verre devant lui, afin de mieux voir le résultat final et fit signe au serveur qui chargea le cocktail sur son plateau en vociférant une autre commande sans ménagement.

lundi 29 juin 2015

EN TOUTE SIMPLICITÉ.........


Dans cette chronique, je vais essayer de faire une synthèse rapide de  certains plaisirs, selon mon point de vue.

J’aime les belles et les bonnes choses que nous offre la vie, mais en toute simplicité.

Je m’explique…………

Amateur de vin depuis un certain temps, j’ai un réel plaisir à ouvrir une bonne bouteille de vin avec un plateau de fromages ou de charcuteries, sans chichis sur le coin de la table de ma cuisine.

Boire un bon armagnac, dans une pénombre relative sur un fond de bonne musique jazz.

Faire une sieste sur le sable chaud d’une plage de méditerranée, en arrière-saison bercé par le flux et le reflux des vagues et le cri des mouettes.

Manger des oursins fraîchement péchés, sur le pont d’un pointu, avec un couché de soleil et quelques bouteilles de roses…… va s en dire.

J aime aussi la vision furtive du galbe d’un mollet ou du dessin d’une cuisse que laissent transparaître en toute innocence certaines femmes lorsqu’elles croisent ou décroisent leurs jambes en terrasse d’un café.

Boire un apéro avec une équipe de déconneurs, enchaînant blagues sur blagues jusqu’à pleurer de rires.

Ceux ne sont que quelques exemples, mais je pense que beaucoup me rejoindrons sur ce terrain-là.

Des moments à la portée  de tous, et pas spécialement réservés à une élite.

De vrais moments simples………….. Dans notre existence quotidienne qui nous parait de plus en plus compliquée.


Beaucoup pensent que sans argent on ne peut pas profiter de la vie.



Ces moments la ne s achètent pas et ont pour moi une plus grande valeur qu un compte en banque bien rempli.

carpe diem« cueille le jour sans te soucier du lendemain » .


lundi 8 juin 2015

ANDROGYNE..........


Cette chronique est un petit constat personnel,sur une tendance qui me parait de plus en plus évidente au risque de passer pour quelqu un de ringard ,voire macho , tout simplement naïf ou les trois.

Les médias, les films, les magazines et même les calendriers montrent de plus en plus comme une normalité deux hommes ou deux femmes ensembles  dans des situations plus ou moins suggestives et parfois carrément crues.

L homme est de plus en plus médiatise dans un look imberbe ,musclé, huilé,style Grèce antique et la femme,tatouages et regard de fauve .....limite guerrières amazones.

Je pense que le message est de montrer le cote féminin de l homme et l inverse pour la femme.....pour  ne voir au final un etre unisex.

On est bien loin de la famille Bidochon de l époque.

Donc l homme montrerait  plus sa sensibilité,ses émotions tout en gardant une apparence physique forte peut etre en réponse a la violence quotidienne qui nous entoure . 

l idée serait qu il n a pas ou plus  l obligation de mettre en avant ses instincts primitifs mais au contraire montrer son cote doux et sensible enfoui au fond de lui pendant des siècles.

Pour la femme montrer sa capacité a etre forte et indépendante dans tous les sens du terme.

Cette image de nouvelles femmes ....... chefs entreprises,impliquées aussi  en politique,prêtes a relever   défis physiques et d endurance  comme on nous le montre dans certaines émissions de télé réalité.

Même dans la sexualité et le plaisir, avec l avènement des sextoys de plus en plus sophistiques qui ont fait  un tabac et qui  sont aussi communs aujourd hui qu une machine expresso reléguant l homme a une place moins indispensable  dans le domaine.

L adoption d enfants pour les couples de même sexe,ainsi que le mariage  favorisent aussi cette mouvance.

Alors que cherche t on a créer....je suis pour l évolution et le progrès ,je n ai aucun tabou et je respecte la vie de chacun, mais j avoue que la je m y perd un peu.

Cette tendance nous amène vers un futur être humain ,asexué,autonome ,contrôlant son existence dans les moindre détails ....bien loin des fondamentaux que la nature nous a transmise.

Pourquoi pas me direz vous.......





mardi 26 mai 2015

TOUT FAUX..............







Se bourrer la gueule pour tout oublier.........

Il poussa la porte du premier bar venu, entra et s’installa sur un tabouret au comptoir.

Il grommela au barman.... UN DOUBLE COGNAC  d’un ton nerveux.

Le verre de breuvage fut pose devant lui suivit d’un .......18 euros.

Il fouilla dans ses poches et posa une poignée de billets divers sur le comptoir et fit signe de la tête au loufiat de se servir.
Il ingurgita son verre cul sec.

.......UN AUTRE....

Au bout de quelques tournées son esprit commença à s embrumer, et resurgirent les images de sa femme avec cet inconnu devant son immeuble échangeant et long et fougueux baiser avant de repartir chacun de leur cote.

Pour une fois qu’il rentrait plus tôt, voilà le résultat.

......UN AUTRE.......cul sec.....

Sa première pensée fut d’intervenir violemment, de leur voler dans les plumes à tous les deux, mais il n’en fit rien, il resta sans bouger planté de l’autre coté de la rue assistant impuissant au spectacle de cette trahison.

.........UN AUTRE....

L’alcool commençait  lui tourner la tête et  il commença à divaguer et parler seul avachi sur le comptoir de zinc.

Le barman le mis en garde de se tenir correctement et de ne pas importuner les autres clients, ce qui provoqua chez lui une montée, accompagnée d’insultes en tous genres.

SERT MOI.......JE PAYE ....ENCORE UN DOUBLE........

Le barman lui indiqua que cela cela suffisait et qu’il ferait mieux de partir.

Il n’en fit rien et renchérit d’un.......

QUI TU ES TOI POUR ME DIRE CE QUE JE DOIS FAIRE....

La réaction ne se fit pas attendre, le barman fit le tour du comptoir  l’empoigna manu militari, l’accompagnant vers la sortie avant de le projeter sur le trottoir en l’informant de ne plus remettre les pieds ici.

Il retourna à son comptoir et dit avec un petit sourire moqueur à l’attention des autres clients.....

4 VERRES ET APRES ILS SE PRENNENT TOUS POUR RAMBO.......C EST LA VIE.


lundi 18 mai 2015

EN MODE....JAZZ.





Une journée pénible……..une seule envie boire un verre et me détendre.

Joptais pour une cave de jazz que je connaissais, située dans le sous-sol d’un immeuble vétuste, je pris l’escalier crasseux jonche de vieux papiers donnant  sur une porte en bois.
Je  frappais quelques coups secs, le Judas s’ouvrit  laissant apparaître une paire d’yeux  sombres et  inquisiteurs.

Le  crissement  du verrou me donna l’accès à une petite salle enfumée .Quelques tables etaient occupées par des clients, que je distinguais a peine dans la pénombre environnante.

Je pris place au comptoir qui faisait face à l’estrade ou un quintet de musiciens éclaires par un spot, interprétaient une reprise de Sarah Vaughan avec un certain talent.
Un délice pour mes oreilles.
Je murmurais au barman….un armagnac….pour ne pas perdre une note.
Voilà, ce dont j’avais besoin. Une sorte de bien être m envahi, comme si toute la pression accumulée dans la journée s’en allait peu à peu pour faire place à une quiétude bien méritée.
J allumais une cigarette, et fit signe au barman de me resservir.
Quelques applaudissements discrets achevèrent ce délicieux morceau immédiatement suivi de….Blue Train  de John Coltrane.
Le jazz….LA MUSIQUE….seule et unique, une thérapie pour moi, une échappatoire au stress de la vie quotidienne, comme certains font du sport ou d’autres activités.
Apres quelques heures et un peu émèche certes, je décidais un repli strategique.je payais ma note au barman en lui adressant un clin d’œil de satisfaction.
Direction la sortie sur un morceau de KENNY BURRELL….MIDNIGHT BLUE.
La mélodie dans ma tête qui se mêlait à ma démarche incertaine, ponctuée de petits.....pam....pam...pam me fit sourire.

J’étais bien.

mercredi 13 mai 2015

BON ANNIV...............

ET OUI ....22 ANS AUJOURD HUI......CA PASSE MA FILLE....INFOS SUR LE CHIFFRE....22.



Il existe de nombreuses théories quant à l'origine de cette expression argotique qui, en France, sert à avertir de l'arrivée de la police :
« Vingt-deux » signifie couteau dans l'argot français du xixe siècle. L'expression signifierait donc « tous à vos armes ». L'arme favorite des voyous du temps était le « couteau d'arsouille » avec sa lame de 22 centimètres.
En mai 68, quand les CRS arrivaient, les manifestants criaient « 22, v'là les flics ! » pour que tout le monde se munisse de pavés. Le calibre officiel à l'époque étant de 22 cm sur 22 cm sur 22 cm. Pourtant, l'expression est attestée dès 1874, donc cette explication est invalidée.
Un homme normalement constitué a deux jambes, qui forment le chiffre 11. quand on dit 22, c'est que c'est le moment de courir (parce que les flics approchent).
À la fin du xixe siècle, il y avait onze boutons sur la vareuse des policiers. Et comme ils se baladaient toujours par deux…
Cette expression viendrait aussi des prisons, ou des ouvriers typographes où le 22 viendrait de l'addition des chiffres correspondant au rang des lettres du mot « chef » dans l'alphabet. 3+8+5+6=22
Dans la même série, il viendrait peut-être du mot « vesse » qui signifie « grande peur ». Le v étant la 22e lettre de l'alphabet.
22 serait une déformation du juron « Vain dieu ». On dirait donc plutôt « Vain dieu, v'là les flics ! »
Certains disent que le 22 était autrefois le numéro de téléphone de la police, remplacé de nos jours par le 17. Cette explication ne tient pas compte de l'attestation de cette expression dès 1874, alors que le téléphone ne fait son arrivée en France que dans les années 1920.
On trouverait cette expression chez les linotypistes du xixe siècle. En effet, la taille des caractères (dit le corps dans le jargon de l'imprimerie) pour former un texte est habituellement de 9 ou 10. De ce fait, le corps 22, destiné aux titres car de taille plus importante, est tout désigné pour annoncer la venue du chef de manière anodine. Quand le chef d'atelier entre, on crie 22. Quand c'est le patron, là on crie 44.
C'est au chapitre 22 de l'Evangile selon Saint Luc que Jésus est arrêté. (Luc chapitre 22 - versets 47 à 54)

22 correspondrait au nombre de lettres utilisé dans l'expression "Attention voilà les flics".
Quand on fait quelque chose très rapidement ( fuir par exemple ), on le fait en "deux-deux". Cela aurait donné le "22".
Le terme "22 voila les flics" pourrait venir des bars ou troquets où les policiers arrivaient en masse le 22 de chaque mois, jour mensuel de la paie..
voila tu sais tout.........BON ANNIVERSAIRE......PAPITO

lundi 11 mai 2015

COMME D HABITUDE.........






Elle prit place comme tous les matins à la même heure, à la terrasse du café avec une vue imprenable  sur ce petit port de pêche de méditerranée.

Le soleil matinal, illuminait de reflets brillants le clapot  entre les bateaux alignes dont le doux balancement produisait un bruit métallique dû aux élingues frappant les mats d’aluminium.

Comme à son habitude elle demanda une noisette avec très peu de lait.

Elle était vêtue d’une robe blanche légère en coton qui mettait en valeur son bronzage cuivre, chaussée d’escarpins  ajoures  de la même couleur. Ses jambes croisées laissaient apparaître le galbe de ses mollets et l’attache fine de ses chevilles.

Je posais délicatement la tasse devant elle, en essayant de percevoir son regard à travers ses lunettes de soleil en entonnant un……voilà Madame.

 Elle me remercia d’un geste discret de la tête.

Depuis des mois, j’attendais  tous les matins son arrivée, un peu comme un besoin incontrôlable de la voir. Cela me mettais de bonne humeur, allez savoir pourquoi .
Je ne connaissais pas son prénom,   était elle célibataire?,   travaillait elle dans les environs?.

 Une parfaite inconnue.

Mais tout ce mystère, pouvait laisser libre cours à mon imagination et ce n’était pas pour me déplaire. Cela me changeait de certaines midinettes un peu trop faciles à entreprendre.

Elle était à part et je voulais que cela reste ainsi.

Mon matin…mon  plaisir……..mon fantasme………ma belle de jour.


mardi 5 mai 2015

UN VÉRITABLE CHEF D ENTREPRISE






De nos jours l’image du taulier s’apparente de plus en plus à celle d’un chef d’entreprise.
Avant, les établissements  pouvaient garder la même apparence plusieurs années à  part un coup de peinture de temps en temps.

 Aujourd’hui   une remise en question plus régulière se fait sentir.

Soit de nouvelles formules pour attirer les clients, soit un Relooking complet, je dirais tous les 2 ans.

J’ai connu un bar qui changeait chaque année sa déco intégralement, et le plus original c’est que la dernière soirée de chaque année, les clients déguises en maçons pouvaient tout casser.

 Main d’œuvre gratuite, mais dangereuse à mon avis.

PAS PRUDENT DE DONNER DES MASSES A DES MECS SAOULS .

J’ai moi-même change la déco de mon bar, 3 fois en 7 ans avec de nouvelles formules à l’appui.

Lors de mon passage dans certains bars, en tant que employé, le mobilier et la peinture devait  dater de l’année de ma naissance.

 Cela peut avoir un certain charme.


 Le vécu, l’authenticité  si  il est maintenu en bon état.

Pas souvent le cas

Regardez les brasseries changent régulièrement le mobilier de leurs  terrasses .
Avant une terrasse durait 4 a 5 ans.

C’est aussi un respect par rapport aux clients fidèles, leur donner un endroit qui bouge et montrer aussi que leur argent, ne sert pas qu’à acheter le dernier 4x4 à la mode.

La concurrence plus forte  est aussi une raison, de nos jours les gens ont besoin de nouveautés.

 Je me rappelle avoir relooke un bar brasserie a Sanary en association avec un EX ami, les premiers mois furent terribles pour les concurrents. Une bombe. Gros succès.

Ça n’a pas duré quel dommage.

Vous comprendrez pourquoi en lisant ma chronique .....DUO DE CHOC

Il faut donc, plus se creuser le citron, se tenir à la page, être tendance, et surtout réinvestir.

Promotionner,

 Facebook, page web ou blog, des soirées, des flyers, clip sur You tube, Tripadvisor

Les nouveaux outils, sans qui  une entreprise de nos jours ne peut fonctionner.

On est vraiment très loin de l’image du patron tapant le carton en terrasse avec ses potes, avec un loufiat sans âge derrière le comptoir.

La donne est différente

Mais si on joue les bonnes cartes  alors la……. capot assure.